“J’ai démarré l’aventure entrepreneuriale il y a environ 18 mois, avec beaucoup d’envie mais aussi beaucoup de craintes et un manque de confiance en moi.

J’ai rencontré pas mal de coachs entre les clubs d’entrepreneurs et mon cercle perso. Je savais qu’il allait falloir que je me dote de quelqu’un pour arriver là où je voulais aller et renforcer mon mental. Se réinventer dans un nouveau métier à 40 ans ça fait peur.

Une amie m’a emmené à un meet-up qu’organisait Muriel, et pour la première fois j’ai entendu un discours où « qui on était au niveau perso et qui on était au niveau pro » -et surtout au niveau de cheffe d’entreprise- ne pouvait être dissocié. Ces dernières années j’ai relevé la tête suite à des épreuves (mon mari m’a quitté et le COVID a eu raison d’un emploi que j’adorais), même si aujourd’hui je ne regrette rien j’ai souvent un manque de confiance latent. J’ai su que c’était Miss Purple qui allait être capable de m’aider à avancer parce qu’elle donne autant d’importance au perso qu’au pro.

En plein doute sur le fait d’aller à l’étape supérieure de mon aventure elle m’a rappelé mes rêves et j’ai embarqué dans la formule ADPB ( Accélérateur de Destinée et de Personal Branding) avec des sessions coaching personnelles.

C’est du travail personnel, on le fait pour soi et ça secoue, et c’est un investissement financier. Elle me remet à ma place quand mon mindset baisse.

Mais pour devenir une décoratrice reconnue, qui attire de nouveaux clients et qui vit de son travail je pense que ça n’est pas possible, en tout cas dans mon cas, d’y arriver seule. Vous connaissez un champion olympique qui n’a pas de coach ?

Depuis que j’ai démarré ce coaching j’ai décroché de nouveaux projets, je sais que j’ai ma place dans ce que je fais.

A ce jour, j’ai réalisé 859€ en sus en chiffre d’affaire. Selon comment vont avancer les projets en cours le gain à venir serait dans les 6000€ voire plus!!

J’ose m’affirmer et convaincre les clients de par ma posture, je sais que je suis la bonne personne pour refaire leur déco.

J’ai mieux analysé les échecs des débuts, j’ai revu ma façon de communiquer et surtout j’ai pris la décision d’ouvrir la société après plusieurs mois en portage.”